Recueil de poême

et c'est là que tu te trompes mon ami !!!

justement sentir le bouc ça attire le ouargue!!!

"Le ourague sentant l'agneau dans son entourage,
se met instantanément à l'affut et rentre dans une folle rage,
afin de faire du sang de l'agneau son si précieux breuvage,
et se repètre de sa chair et de ses os sans aucun partage!!!"


héhéhé je suis inspiré moi ^^

Le ouargue n'aime pas la charogne
Vieille de plus de 10 jours,
Il prefere quand ca saigne
Et que ca bouge toujours.

Meme quand il a grand faim,
le ouargue est un gourmet.
Il boufferait bien du nain.
Il en aime le fumet

Quand a l'odeur de vieux bouc,
il la trouve bien amere !
Nom d'un crétin de Touque,
ca lui rappelle sa mère.

Alors loin de lui,
l'idée d'y gouter.
Le voici qui s'enfuit,
à peine reniflée !

Que de poètes, aujourd'hui!!!

Mais si le ouargue sentant le bouc à proximité,
sait faire la différence d'avec sa mère,
c'est que comme un nain face à un troll de guerre,
son oeil expert en est le meilleur conseiller.

De plus, un ouargue des tempêtes affamé,
Errant dans les montagnes du Haut Col,
N'est pas moins intéressé que le dénommé Sméagol,
Devant un poisson frétillant récemment péché.

( ^^ je te raconte pas les trésors d'improvisation que tu me fais développer ^^ )

Mais ce meme ouargue des neiges,
eut-il une bonne vue,
préférera, le croiras-tu,
une bonne grosse grouse beige.

Il y a certes moins a bouffer,
surtout une fois plumée,
mais le fumet en est meilleur,
parce que ton bouc, vla l'odeur !

Pi surtout c'est moins dangereux,
suffit de montrer ses crocs,
tandis que ton bestiau,
le manger, c'est hasardeux !

a peine t'es-tu approché
que déja tu te sens mal
alors pour le manger
nenni, pas fou l'animal !

Les ouargues sont pt'et stupides,
mais pas vraiment téméraires.
Préférerent sauter dans le vide,
que d'y croquer le derriere !

Non vraiment je t'assure,
ton odeur rien de moins que fugace
meme sous une bonne couche de glace
pouah, une horreur, j't'assure !

Il s'agit en effet de ce terrible prédateur,
Qui des heures durand chassa le nain,
Dès lors qu'il comprit qu'en dépit de l'odeur,
En Thorguiln, il y avait un grand festin.

Chassant, traquant, reniflant et observant
Celui dont les fesses grasses lui permettrait de passer l'hiver,
C'est ô combien alléché qu'il aperçut le ventre bedonnant,
De nottre gentil nain ma fois bien trop téméraire.

Ne voyant que la bavette saignante qu'il pourrait se tailler,
Il n'écouta pas son odorat et fondit sur sa proie,
Qui admirait des excréments de mouches dont le sol était jonché,
Et fût vaincu par l'odeur nauséabonde que le nain dégageait parfois.

C'est donc par cette anecdote que nous démontrons,
Sans grand mal vous en conviendrez,
Que l'ouargue est prêt à tout pour dévorer ce qui lui semble bon
Et que le nain de par sa signature olfactive est à l'abri des moindre dangers.

Demontrons, démontrons,
Mais gardons à l'esprit l'idée première
Qui était de dire que Sath la fermière,
sentait pas bon !

Je lui conseillais un bain,
car pour aller à la chasse
armé de son arc et de sa masse
vaut mieux sentir le sain !

Sinon, tout bon chasseur soit-tu
le gibier tu feras fuir !
Et même ton ouargue de dire :
"Mon dieu, c'est moi ou ca pue !?"

Tout équipé, des pieds à la tête,
tu auras l'air d'une nouille,
quand tu rentreras bredouille.
T'auras l'air un peu bête !

Surtout si a tes meilleurs amis,
un festin de roi tu as promis.
et qu'en guise de repas,
un moineau mort tu rameneras.

Imagine un peu leur tête,
quand baignant dans ton parfum,
eux attendant la fête,
se demanderont ou se cache le nain !

Ta réputation de chasseuse,
va prendre un coup dans l'aile !
D'aucun de dire : fais toi belle,
Ou retournes dans la foret, gueuse !

Alors pour seule compagnie tu n'auras,
qu'un nain bourru de bon aloi,
Et une meute de ouargue malades
obligés de se taper de la salade !

(la vache, on dechire !!!!!!! )

Merci beaucoup Niennarwen !! Je vais aller voir et je posterai les noms des nommés que je croiserai


oh il me vient un poème .... ( )

"Quel dur métier que celui de chasseur,
Sans cesse par monts et par vaux,
Affrontant des meutes entières sans peur,
Mais avec pour seule reconnaissance l'exigence pour dîner d'un gigot.

Pendant que le gardien entretien sa constitution,
Dans les tavernes et autres lieux de perdition,
Le chasseur lui, se bat contre le froid et la pluie,
Pour survenir aux besoins gargantuesques de ses amis.

Alors quand le chasseur pistant une biche depuis plusieurs jours,
Doit abattre une troupe d’orques pour préserver le dîner,
C’est non sans peine qu’il fait face à la troupe qui accourt,
Inondant ainsi son armure des liquides visqueux dus aux saignées.

Mais peu importe la puanteur qui l’entoure désormais,
Puanteur qui fait fuir la biche vers les sommets,
Elle a pisté ses traces et la retrouvera plus tard,
A l’orée d’un bois, ou au bord d’une marre.

Et si le chasseur, ou plutôt devrais-je l’appeler Sathtrimis,
Etait, ma foi, trop incommodée par le sang qui souille son armure,
Elle irait sans nul doute, prendre un bain du coté d’Imladris,
Où la cascade et le chant des elfes la délasseraient de leurs doux murmures.

Ainsi, contrairement aux nains qui ne chassent l’odeur de l’orque,
Que par celle des boissons de couleur jaune, brune ou ocre,
Ou à défaut par celle de leur propre sueur abondante,
Sathtrimis, elle, purifie son corps dans les eaux pures et vivifiantes.

Ainsi, les remarques ô combien désobligeantes du nain bourru,
Qui devant l’assemblée souligne l’odeur repoussante,
Ne font que ramener les regards horrifiés vers sa propre personne velue,
Et le priver d’un succulent repas apporté par Sathtrimis-La-Charmante.



(AHAHAHAH )

yeah !!!! j'ai eu peur de t'avoir calmé ! Bon je m'y colle. Je te pond un truc et j'arrive !

(PTDR !!!!! nono mais ce matin j'avais du taf alors j'ai pas pu exercer ma prose lool)

un peu comme moi pour l'instant ... c'est pour ca, la reponse va pas etre immediate !

héhé pas de soucis, on a toute la vie ^^ quoi que toi étant un nain, tu vivras plus longtemps donc tu gagneras forcément !! C'est dégueulasse, je suis sur de perdre !

Et pendant que le nain,
dans sa propre odeur se complet,
la chasseuse, elle, ah mais ouai
coure derriere le lapin.

car qu'on ne vienne pas me dire,
que du chasseur ou du nain,
c'est le nain qui sent pire,
et le chasseur ne sent rien !

Car tandis que le nain
à l'auberge se plaint
Le chasseur dans la boue
patauge, s'en fout partout !

Or quoi de plus salissant,
et surtout de plus puant,
qu'un bon trou de lisier,
ou les ouargues vont ... (se terrer bien sûr ! enfin voyons !)

Le nain quand a lui,
se frotte la panse,
et rote avec aisance,
à l'abri de la pluie.

Le nain, en effet, bien malin
aura compris qu'il suffit
d'un tout petit brin de pluie
pour choper un truc pas sain !

Le chasseur, faisant le fier,
trempe ses bottes,
mouille sa culotte,
et recolte un truc pas clair !

Et quand tout crotté,
il rentre a la taverne,
c'est autour d'un grand verre,
qu'il se fait dorloter.

Le nain pas rancunier,
de toutes ces paroles lancées,
se verra même obligé
d'y payer sa tournée.

Je comprend maintenant,
Lontharin, l'ami des nains,
qui se balade tout le temps,
avec son parfum.

C'est pour avoir beau fumet,
quand a la table pres du feu,
avec Thorguiln le replet,
ils boivent à qui mieux mieux.

Quand à Sath, si je la vanne
d'aussi gentille humeur,
c'est parce que la porte
tout au fond de mon coeur





(et paf ! là je t'assomme pour de bon, je crois !)

Eh ca me donne une idée !
Si on organisait un concours de poeme ? Sath et moi dans le jury !

Sathtrimis, n'as tu point remarqué que tu ne trouves plus aucun animal incrusté de Béryl, depuis ce jour où tu m'as gentiment montré tes terrains de chasse ... héhé

Lontharin.

PS: vous êtes vraiment une drole de bande de rimeurs.

Tu es invité a participer Lonth ! Parce que Sath, on dirais que je l'ai mise KO là !

Mais en terme de morale,
Laisser moi vous compter mon bon ami,
Un histoire ma foi fort banale,
Qui chaque fois que j’y pense me ravi.

C’est l’histoire d’une chasseuse émérite,
Du moins en ce qui concerne son métier,
Et d’un nain que je qualifierai de typique,
Se battant toujours avec de la bière à portée.

Cette histoire se déroule dans une taverne,
Celle, bien connue, du Poney Fringuant,
Où les hobbits et les nains hibernent,
Quand vient l’hiver, l’été, l’automne ou même le printemps.

C’est à son comptoir, simple mais solide,
Que le vieux Prosper vit s’accouder ce soir là,
Deux étranges confrères formant un couple des plus atypiques,
La svelte chasseuse et le nain qui se pose là.

Les deux amis, dont les voix couvrirent rapidement
L’ensemble des voix et autres bruits de verrerie,
Devirent le spectacle d’un soir au Poney Fringuant,
Amusant clients, serveuses et même, à travers la fenêtre, le garçon d’écurie.

Leur discussion qui au début semblait parler de ouargues et de bouc,
Mettait en réalité en avant les senteurs pour le moins fleuries,
De Sathtrimis la chasseuse ramenant pour dîner un mammouth,
Et de Thorguiln le nain s’adonnant comme à son habitude à la beuverie.

Le duel était ma foi fort serré entre les acolytes,
Et les arguments allaient bon train,
Faisant appel tout aussi bien aux faits qu’aux mythes,
Et ne départageant pas la chasseuse du nain.

Voyant l’heure qui défilait,
Prosper eu comme à son habitude,
La meilleure des idées,
Celle qui départage les plus rudes.

Il fit donc asseoir Thorguiln sur un tabouret de comptoir,
Et Sathtrimis sur une chaise de taille normale,
En leur expliquant que par ce test ils allaient voir,
Qu’en dépit de leurs différences d’odeur, il y avait une morale.

Ainsi le nain et la chasseuse se virent placer devant le fait accompli,
De descendre en duel une vingtaine de bières,
Cédant ainsi les jouttes verbales abouties,
Pour s’inonder le gosier tout en restant digne et fier.

Ils relevèrent donc le défi proposé,
Et au soulagement de l’assemblé, se sont tus
Car entre boire et parler, il faut choisir,
C’est bien connu !

Et quand arriva la dernière bière,
Tous deux en étaient au même point,
Vidant ainsi leur dernier verre,
Avant de frapper la table du poing.

Ils finirent donc en même temps,
Et voyant qu’ils ne s’étaient pas départagés,
Conclurent en rigolant,
Qu’il n’y avaient entre eux qu’amitié.

Ils payèrent donc le vieux Prosper pour la soirée passée,
Et allèrent devant leur maison de confrérie,
Afin de rire et faire de beaux ronds de fumée,
En comptant leurs bons souvenirs de camaraderie.

C’est donc en parlant de trolls et de baffes,
De pirouettes et de danses mémorables,
D’exploits au combat et de gaffes,
De soirées et de fêtes inoubliables,

Que le duel verbal pris fin ce soir là,
Entre un nain bougon
Et une chasseuse grognon
Qui pour finir le serra dans ses bras.


(Alors tu me croyais KO??? )

Ton dernier poème est vraiment beau Sath ! Il devient plus beau que les autres car il reflète l'amitié incroyable entre vous deux!

Que cette amitié dure encore lontemps !

Là, j'applaudis à deux mains,
et je m'incline ! Bien bas ...
Bon j'ai plus qu'a faire aussi bien,
et me trouver un autre thème que celui là !

merde, même quand le veux pas,
je fais des rimes à la noix !
mon dieu, mon dieu aidez moi !
Je sens que je deviens fada !

bon allez j'arrete là,
et je trouve un theme sympa.
Parce que celui des senteurs
semble avoir connu son heure ...



(bouge pas je reviens ! Je trouverais bien 5mn entre mes reunions !)

Merci Niennarwen


je me suis régalais pour l'écrire j'avoue ^^

bon Thothor, je t'attend de pied ferme héhé

(voila voila)

Il n'est pas facile
de départager les apotres
tant ils sont habiles
a se vanner l'un l'autre.

Mais s'il est une chose
qui tous deux les anime
c'est leur gout de la rime
et celui de la prose

A ce petit jeu
ils s'amusent, ils s'eclatent,
a se faire peter la rate,
avoir les larmes aux yeux.

S'il est vraiment vrai,
que ces derniers couplets
etaient excellents
et ô combien emouvants,

l'amitié qui les lie
et leur franche camaraderie
est bien plus stimulante
qu'une bière à la menthe.

Ils font plaisir à voir,
tous les deux cote a cote
a manger et a boire,
et oublier la note !

Et Prosper de gueuler
de crier, de hurler
apres les deux comperes
qui toujours font la paire

Mais il a bien compris,
que rien ne sers de courir
apres les deux amis
et leurs eclats de rire

Pas rancunier le Prosper
car il sait parfaitement
qu'ils attendront pas longtemps
pour revenir boire un verre

Par monts et par vaux
en bas ou meme en haut,
s'en vont les deux comperes
comme une soeur et son frère

Dans la vie, dans la joie,
la douleur ou le combat,
ils s'en vont dos à dos
faire leur fête aux pas beaux

Et quand loin des combats
se retrouvent les confrères
ils expriment leur joie
en s'enfilant une biere

Non, moi je fais pas ce concour... J'aurais l'air de quoi après ce que vous avez écrit, tous les deux... Pas envie de me ridiculiser!!!!

ah non ! Me dis pas qu'on a placé la barre trop haute ! On est pas Prevert, des Allan Poe ou autre. Allez hop, au boulot ! Tous à vos rimes !

C'est quoi le sujet?